Il est tout à fait immoral et inhumain que la Première ministre ne puisse pas déposer sa démission auprès du Président de la République suite à la mort tragique du brigadier Fiston Kabeya Senda, peu après les révélations faites par son collègue agent de police anonyme, dans une vidéo virale partagée sur les réseaux sociaux, affirmantes que le défunt aurait été tué après avoir intercepté le cortège de la Première ministre pour une infraction routière. Il dénonce une « exécution » liée à l’exercice de ses fonctions : « Mon collègue a été tué alors qu’il ne faisait que son travail » dit-il.
Alors que la police ouvre son enquête, des allégations circulent sur les réseaux sociaux, accusant les gardes du corps de la Première ministre, Judith Suminwa d’avoir battu à mort ce policier.
Cependant, les voix se lèvent pour exiger que justice soit rendue pour que la vérité éclate au grand jour, quand bien même que « La justice militaire est saisie, et les investigations visent à identifier les auteurs pour les traduire devant les instances judiciaires » le cabinet de Judith Suminwa tente de désorienter l’opinion publique en rejetant catégoriquement les allégations qui pèsent sur la Première ministre au sujet de la mort de Fiston Kabeya.
C’est une peine horrible pour la famille du brigadier Kabeya Senda Fiston , décédé dans des conditions déplorables suite à son arrestation brutale et inhumaine par ses collègues policiers commis à la garde de la première ministre Judith Suminwa.
Tout en exprimant sa compassion à la famille du brigadier Kabeya Senda, la police appelle à la prudence et exhorte la population à ne pas céder à la manipulation, soulignant que les circonstances du décès de ce policier restent à élucider.
Rédaction