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Malaise au CSAC : Les Hauts Conseillers reprochent à Christian BOSEMBE de la megestion , de la personnalisation et de la politisation à outrance de cette institution d’appui à la démocratie.

Voici l’extrait de la lettre ouverte écrite par le Haut Conseiller Jean Pierre EALE

Lettre ouverte à qui de droit
Je viens par la présente partager quelque chose qui me chagrine depuis belle lurette.
C’est avec joie nous les escarpés avions accueilli l’arrivée de la nouvelle équipe. Nous Depuis pensions que tout aller changer. D’entrée de jeu, que ne fut pas notre surprise de constater que nos émoluments ont été revus à la baisse.
A notre question se savour le pourquoi, on nous a répondu qu’un très bon salaire était en négociation. Il n’est jamais arrivé. Près de 30 mois après, nos frais d’installation ne sont jamais arrivés. Les véhicules, malgré les assurances du bureau, ne sont jamais arrivés dans nos parkings. Le complément de salaires ou primes pour nous soulager tant soit peu ne sont tombés dans nos escarcelles que deux fois. Les soins médicaux, pourtant une obligation de l’empoyeur et même que l’état peut payer, on n’en bénéficie pas.
Dans nos bureaux, il manque de fournitures de bureau, reniuveller les abonnements de canalsat, pas d’eau danq nos frigos, manque de papier hygiénique dans nos toilettes.
Dans tout ça, le bureau actuel nous a trouvé avec 10 membres et 150 agents, on se retrouvent actuellement avec 14 membres et 450 agents qui ont des notifications avec plus de 20 mois d’arriérés.
Dans l’entretemps, des sources que nous taisons, le bureau bénéficie des largesses qui nous échappent en payant les participants à des conférences et des membres du monitoring triés sans sans aucun critère objectif. Le Csac est devenu un lieu où tout le monde a peur de tout le monde et où tout le monde espionne tout le monde.
Le csac n’est plus une institution mais un truc où le président engage tout seul l’institution. Le président voit le président de la République tout seul sans être accompagné d’un membre du bureau. Je ne sais pas s’il parle de l’institution ou de leur amitié naissante.
Conséquence, tout le monde a peur de parler à tout le monde.
Les bureaux et les couloirs sont devenus deserts. J’ai ouvert mon cœur à travers ces lignes et vous remercie.

Jean Pierre EALE IKABA

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