Mentez, mentez, mentez, il en restera toujours quelques choses. 2023 est considéré comme une année de réveil pour le peuple congolais, surtout ceux de l’arrière pays pour le choix quand aux personnes qui peuvent les représenter dans le parlement au niveau national et provincial. Aucun dribbleur du peuple n’aura encore des beaux jours après cette élection de décembre. L’exemple qui fait mauvaise école est celui du Sénateur Erick Makang, élu sous trafic d’influence de l’ancien régime en qualité tantôt de beau-frère tantôt de beau-fils parce que ayant pris en mariage ? L’opinion se demande encore .
Aujourd’hui, incapable de rassurer son électorat et de tirer des dividendes, l’homme se lance à un autre trafic pour espérer persuader la population. Pendant ce temps, il traîne derrière lui, un lourd passé financier. Dettes, promesses non-tenues et sur endettement. Aux dernières nouvelles, ce mercredi 12 avril 2023, son bailleur Mr Bernard Muhindo, propriétaire de la ville qu’il occupe depuis un temps sur l’avenue des cliniques à côté du restaurant Kilimanjaro à la Gombe vient de le déguerpir, ce; après une année de patience et de promesses non-tenues et du respecté de la procédure en la matière. Cette race d’élus sans crédit devrait être en voie de disparition, s’exclame un citoyen proche du Sénateur.
Pour un homme que la République nourrit avec 21.000 $ selon certaines indiscrétions, ne pas payer un loyer à une famille qui a ses biens immobiliers comme patrimoine est un manque criant d’humanisme et de respect à la fonction des Sénateurs. Par lui, les députés provinciaux doivent tiré la leçon et la bonne pour scruter ne serait-ce que le curriculum vitæ d’un candidat avant de se donner le luxe d’en faire un élu des élus.
Face à cette situation dramatique, avec notre compassion, l’on s’interroge : doit-on encore l’appeler Honorable ? Affaire à suivre…