Lubumbashi, République démocratique du Congo – Une situation alarmante se profile à l’horizon alors que des informations crédibles révèlent un complot visant l’ancien président Joseph Kabila et l’influent homme politique Moïse Katumbi. Les auteurs présumés de cette conspiration sont la DEMIAP (Division des Enquêtes Militaires, Anti-terroristes et Patriotiques) et le régime du président actuel, Félix Tshisekedi. Selon nos sources, un commando composé de hauts gradés de la DEMIAP, d’agents de sécurité de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR) et d’experts a été dépêché dans la province du Katanga.
La mission de ce commando, dont l’existence est confirmée par plusieurs témoignages, est de paralyser les habitants du Katanga et de déposer des armes de guerre à Kashamata, la ferme de Joseph Kabila, ainsi que chez Moïse Katumbi, afin de justifier l’arrestation de personnalités politiques clés. À bord de l’Airbus A330 de la Compagnie Aérienne Africaine (CAA) assurant le vol Kinshasa-Lubumbashi, se trouveraient le général Makombo de la DEMIAP, le chef de la sécurité intérieure de l’ANR, ainsi que onze autres individus étiquetés comme “experts”.
Des documents confidentiels ont révélé que l’ordre de mission a été signé par un conseiller spécial (CNS) du président Tshisekedi, utilisant pour objet simplement le mot “Mission”. Cette formulation vague soulève de sérieuses inquiétudes quant à la nature exacte de cette opération et à ses motivations réelles. Les détails sur les cibles spécifiques de cette mission demeurent flous, mais des sources internes ont confirmé que Moïse Katumbi et Joseph Kabila font partie des personnalités visées.
La tension politique en République démocratique du Congo est déjà à son comble depuis la dernière élection présidentielle, qui a vu Félix Tshisekedi accéder au pouvoir. Les partisans de Kabila et Katumbi, deux figures politiques de premier plan, sont devenus des cibles de choix pour ceux qui cherchent à consolider leur emprise sur le pays. Les observateurs internationaux appellent à la prudence et à la transparence dans cette situation critique.
Nous avons tenté de contacter les autorités congolaises pour obtenir des commentaires officiels, mais jusqu’à présent, nos demandes sont restées sans réponse. Les organisations de défense des droits de l’homme et la communauté internationale suivent de près ces développements inquiétants et exhortent les dirigeants congolais à respecter les principes démocratiques, les droits de l’homme et l’état de droit.
Le sort des habitants du Katanga et des personnalités politiques, ainsi que la préservation de la stabilité dans la région du Katanga, dépendent de la capacité des autorités à faire face à cette situation de manière transparente et respectueuse des droits fondamentaux.
Avec Congo-intelligence